S é r i e s a d d i c t

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News/Actus janvier

The Walking Dead : deux acteurs pour jouer le Gouverneur ! 

 

Tom Savini le crie haut et fort : il veut être le gouverneur dans la saison 3 de The Walking Dead. Mais John Hawkes est également en lice.

Qui incarnera le gouverneur Philip Blake dans la saison 3 de The Walking Dead ? Tom Savini, légendaire maquilleur pour le cinéma d'horreur et, entre autres, mythique Sex Machine dans Une nuit en Enfer veut incarner ce personnage. A l'entendre, il est taillé pour le rôle. Seulement voilà, la chaîne AMC pense à John Hawkes pour le rôle, ce qui fait plus que surprendre Tom Savini :

« Quand vais-je être dans The Walking Dead ? Mais je devrais être le Gouverneur de ce foutu truc ! Écoutez, j'ai fait campagne pour être le gouverneur auprès de Greg Nicotero (producteur exécutif et ami de longue date de Savini, ndr) depuis plus d'un an. A chaque fois que je lis le roman graphique et que je vois une image du gouverneur, qui me ressemble comme deux gouttes d'eau, j'envoie l'image à Greg. Je n'abandonnerai pas. La dernière fois que je lui en ai parlé, il a dit qu'ils étaient sur un nom pour le rôle. J'ai demandé ''qui ?''. Il a répondu John Hawkes. Eh bien je n'ai jamais entendu parler de lui jusqu'à ce que Greg me rappelle que nous étions tous les deux dans Une nuit en Enfer. Il fait le type dans la boutique au début du film. Apparemment il a aussi été nommé à l'Oscar pour quelque chose appelé Winter's Bone. C'est pourquoi ils pensent à lui pour le gouverneur. Mais à chaque fois que j'en parle, les gens qui lisent la BD disent tous que je ferais un gouverneur parfait. Parce qu'il est dur et brutal... et que je lui ressemble ! » Tom Savini ou John Hawkes pour le Gouverneur ? Le débat est ouvert.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Spartacus : Vengeance - Premières impressions

 

Les malheureuses circonstances entourant la gestation difficile de la seconde saison de Spartacus : Blood and Sand sont bien connues : après le succès de leur première année consacrée aux origines de la rébellion du plus célèbre des gladiateurs, les créateurs / producteurs de la série évènement ont du faire face à la maladie, puis au décès, de leur acteur principal... Une épreuve forcément très difficile, qui aura repoussé d'un an la quête de liberté de ces "dieux de l'arène" avant de pouvoir, finalement, offrir son nouveau visage au héros de la déjà fort bien nommée Spartacus : Vengeance.

Dans le rôle-titre, l'australien Liam McIntyre succède donc au regretté gallois Andy Whitfield et devient, à son tour, le meneur de l'un des plus sanglants soulèvements qu'ait pu connaître l'Empire Romain au cœur de son dernier siècle d'Histoire avant Jésus Christ. Bien qu'il soit plus jeune d'une dizaine d'années, sa ressemblance physique avec son prédécesseur se révèle suffisamment évidente pour assurer une réelle continuité à l'ensemble de la série ; et ce dès les premières secondes ensanglantées de cet épisode d'ouverture ne tardant naturellement pas à inonder l'écran de ses désormais emblématiques surenchères visuelles... mais sans toutefois parvenir à totalement restituer ce regard à la fois implacable, triste et si envoûtant, qui témoignait si bien des ultimes lueurs d'humanité d'un Spartacus toujours plus endeuillé ; à présent libéré et plus que jamais en quête de justice.

Après la parenthèse qu'aura été la mini série "flashback" Gods of the ArenaSpartacus : Vengeance reprend le cours des évènements là où Blood and Sand les avait laissés et s'éloigne de l'incontournable schéma "entraînement, huilage / entrecuissage, complot et effusions de sang" - si caractéristique de la première saison -, au profit d'une intrigue aux ficelles un peu moins redondantes ; aux enjeux accrus et propices à de multiples "surprises" et autres revirements de situations... à commencer par le retour de la toujours aussi fantastique Lucy Lawless. En incarnant à présent une Lucretia blessée, meurtrie et effrayée, la comédienne se voit offrir une nouvelle opportunité de montrer toute l'étendue de son talent et s'impose, une fois encore, comme la principale valeur ajoutée de cette "tragédie guerrière" revisitée, où les romains l'emportent d'ailleurs amplement en nuances et en intérêt sur les insurgés... qui, de leur côté, continuent (Manu "Crixus" Bennett en tête) de systématiquement chuchoter de leurs voix graves comme pour mieux appuyer l'importance de chacun de leurs échanges entre deux démembrements.

Viva Bianca et Craig Parker sont eux aussi de retour dans les rôles d'Ilithyia et de Glaber et deviennent les nouveaux résidents du ludus jusqu'à ce que le désormais promu Praetor parvienne à arrêter Spartacus et ses renégats ; que ne manque pas de rejoindre - après une très efficace entrée en scène - le toujours aussi charismatique Oenomaus (Peter Mensah). De fait, quelques-unes des intrigues laissées en suspens depuis la saison 1 ne manqueront pas de revenir pimenter cette chasse à l'homme toujours aussi stylisée et dont ce premier épisode réserve déjà son lot de cadavres ; du plus au moins émouvant. S'il ne fait aucun doute que ceux qui avaient pleinement adhéré à Blood and Sand trouveront en Spartacus : Vengeance la parfaite extension à leur soif de sang, de sexe et de muscles saillants, cette nouvelle saison pourrait tout aussi bien conquérir un public (un peu) plus large, grâce à son caractère justement moins confiné et plus universel. Les responsabilités de Spartacus s'étendant bien au-delà des arènes de Capua, les séquences de combats n'en seront que plus variées et, de fait, plus spectaculaires encore pour les amateurs du genre... Malgré le caractère toujours plus extrême de la série et son - il faut bien l'avouer - évident manque de finesse, gageons que Starz, dont Spartacus est justement la première création originale à dépasser le stade d'une saison 2, ne devrait pas avoir trop de soucis à se faire quant aux réactions des fans ; le "peuple" ayant toujours été encore plus fasciné par le sang versé lors des combats de rue que par celui rougissant le sable des jeux du cirque.

 

Alcatraz : des fans de la série vraiment idiots !

Certains ne doivent pas faire la distinction entre réalité et fiction. La nouvelle série Alcatraz n'est sortie que depuis deux semaines et quelques fans ont décidé de faire une visite plutôt insolite des lieux aujourd'hui reconvertis en site historique et géré par le service des parcs nationaux des Etats-Unis. Jugez plutôt...

 

Quand le ridicule ne vous tue pas, vous pouvez toujours être rattrapé par la bêtise. Des fans d'Alcatraz ont en effet infiltré un parcours touristique à la recherche de la pièce top-secrète dans laquelle l'agent spécial Emerson Hauser (Sam Neill) traquent les revenants de l'île à l'aide de multiples écrans de contrôle. Une responsable des lieux a affirmé à TMZ que plusieurs touristes avaient commencé à fouiner autour de zones closes pour trouver ce qui est décrit dans la série de J.J. Abrams comme "une Bat-cave sous Alcatraz".

 

 

 

Pour que la méprise ne se reproduise pas, une affiche est désormais en place sur le rocher : "Alcatraz est une série de fiction et plusieurs lieux décrits ne sont pas réels. Les zones fermées sont là pour vous protéger, ainsi que les structures historiques et les nids d'oiseaux."

 

 

 

Un message clair pour tous les fans qui penseraient rencontrer les agents spéciaux incarnés par Sarah Jones, Sam Neill, Jorge Garcia et Parminder Nagra.

 

Après l'échec cinglant de Heroes, Tim Kring est de retour sur le petit écran, et offre à Kiefer Sutherland un nouveau premier rôle télévisé pour la chaîne Fox.

En 2010, après plus de huit saisons passées à incarner l'indestructible Jack Bauer de 24 heures chrono, sur la Fox, Kiefer Sutherland s'éloignait finalement du petit écran, pour se consacrer un temps au cinéma (Melancholia, de Lars Von Trier). La même année, NBC annulait Heroes, au terme de quatre saisons à la qualité rapidement décroissante. Rendu responsable par les fans et les critiques : le showrunner Tim Kring, dont la méconnaissance totale du genre super-héroïque et de ses conventions, et les excuses constantes (souvent sans suite), avaient fini par sceller le destin du show.

 

 

Qu'à cela ne tienne : ce 25 janvier, les deux hommes ont fait leur grand retour sur la Fox, avec

Touch, une série fantastique qui, dès son pilote, semble étrangement familière. Au programme, rien de bien original pour qui a vu un certain Code Mercury (1998), avec Bruce Willis, ou encore Prédictions (2009), avec Nicolas Cage : Martin Bohm (Kiefer Sutherland), ex-journaliste désormais bagagiste, est traumatisé par la mort de sa femme dans les attentats du 11 Septembre. Seul, il tente désespérément d'élever son fils de 11 ans, Jake, autiste et muet. 

Mais l'enfant a un secret : obsédé par les nombres, il est capable de percevoir les connexions invisibles entre choses et gens, et de dénouer les fils du destin pour prédire le futur. Incrédules, Martin et Clea (Gugu Mbatha-Raw), l'assistante sociale en charge du dossier de Jake, se tournent alors vers le professeur DeWitt (Danny Glover), un spécialiste aux théories excentriques...

 

 


 

 

 

 



30/01/2012
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